lundi 26 août 2013

Art moderne. Toujours le même principe décadent. Ici, en musique.

Tiré de fedsouche.


"Musique (contemporaine) : “L’atonalisme. Et après ?”


Le 20 décembre 2012, invité par le compositeur pianiste pédagogue Karol Beffa, titulaire pour l’année 2012-2013 de la Chaire de Création artistique du Collège de France, le pianiste Jérôme Ducros prononçait une conférence qui déclencha une vive polémique". 


 La plupart des collabos venaient de la gauche.





http://rutube.ru/video/6840d837d99686d2d561c610457aa913/
 Soutenons ceux qui ont le courage de dire non. Cette loi inique est passée. On ne peut tout voter, tout décider, ou, si on acceptait le principe contraire, certains demain pourraient nous faire revenir aux heures noires connues entre 40 et 45, mais aussi à celles vécues dans les pays communistes que la presse aux ordres oublie sauf très rares exceptions (a focalisation sur régime permettant de cacher ceux de régimes comparables).
Soutenons Marie-Claude Bompard.


http://www.france-petitions.com/petition/345/nous-soutenons-marie-claude-bompard

vendredi 31 mai 2013


Nous reprenons l'article et la vidéo mise en ligne sur le site  le Point.fr
Ajoutons juste avant l'information du site Le bréviaire du Patriote.

"Le 27 mai déjà, une cinquantaine de personnes avaient été interpellées devant le lycée Buffon à Paris, où François Hollande était en visite. Maître Grégoire Étrillard, l’avocat de plusieurs étudiants arrêtés, avait alors porté plainte et saisi le Défenseur des droits pour non-respect de la déontologie policière. Me Triomphe s’apprête à en faire autant. Jusqu’où ce gouvernement ira-t-il pour faire passer en force son idéologie ?

Petit rappel pratique pour les futurs interpellés :
Article 122-4
N’est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l’autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal.
Article 432-4
Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100000 euros d’amende.
Lorsque l’acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d’une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450000 euros d’amende".
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Le Point.fr- Publié le - Modifié le

Le Point.fr s'est procuré une vidéo qui montre un avocat exiger la libération de personnes arrêtées en marge des manifestations contre le mariage pour tous.

Photo d'illustration.
Photo d'illustration. © Michel Stoupak / AFP
 
 
Par et Aziz Zémouri
 
"Je viens d'être appelé par une cliente qui se trouve dans votre panier à salade et qui m'a dit qu'elle avait été arrêtée pour rien. C'est un abus d'autorité." Mercredi 29 mai, boulevard du Palais à Paris, Jérôme Triomphe, 38 ans, avocat, brandit le Code pénal devant les portes du tribunal de grande instance. Des policiers de la préfecture de police de Paris viennent d'interpeller plusieurs étudiantes venues soutenir des manifestants "anti-mariage pour tous" jugés en comparution immédiate devant la 23e chambre correctionnelle. Motif de l'arrestation ? Selon l'avocat, c'est uniquement parce que les étudiantes portent un tee-shirt "anti-mariage pour tous". Dans les faits, aucune image ne montre leur arrestation.

Retenue dans le fourgon de police stationné devant le palais de justice, l'une d'entre elles a eu l'idée d'appeler depuis son téléphone portable l'avocat. Jérôme Triomphe, qui filme la scène avec son iPhone, crie son indignation et menace de prison des fonctionnaires mi-amusés, mi-embarrassés. En effet, l'article 432-4 punit de sept ans d'emprisonnement toute personne dépositaire de l'autorité publique se rendant coupable lors de l'exercice de sa mission d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle.

"Je ne vous parle pas, je reçois des ordres, vous m'empêchez de faire mon travail", rétorque à l'avocat une jeune policière en uniforme. "Puis-je avoir le nom de la personne qui vous a donné l'ordre d'arrêter ces gens", interroge, vindicatif, Me Triomphe. Pas de réponse. Sous la pression de l'avocat, les étudiantes seront finalement relâchées et reconduites au métro par les forces de l'ordre. Cela constitue là encore, selon Me Triomphe, une infraction à la liberté d'aller et venir. "Cette vidéo illustre parfaitement les arrestations arbitraires qui se perpétuent depuis deux mois en marge des manifestations anti-mariage pour tous, affirme Me Jérôme Triomphe. Mais là, en relâchant immédiatement ces étudiantes, c'est la première fois qu'ils reconnaissent l'illégalité de ces interpellations."

"Le Défenseur des droits a été saisi

Déjà, le 27 mai, devant le lycée Buffon à Paris, pendant la visite du président de la République François Hollande, venu célébrer le 70e anniversaire du Conseil national de la Résistance, une cinquantaine de manifestants avaient été interpellés, retenus dans des fourgons de police puis conduits au commissariat. De nombreux avocats avaient alors dénoncé des abus d'autorité ou des arrestations arbitraires. Maître Grégoire Étrillard, l'avocat de plusieurs étudiants arrêtés devant le lycée Buffon, a depuis porté plainte et saisi le Défenseur des droits pour non-respect de la déontologie policière.
C'est aussi ce que va faire Me Triomphe pour sa cliente mercredi. "Ils ont osé effectuer ces arrestations devant le palais de justice, là où doit s'appliquer le droit", s'insurge l'avocat. "Tous les jours, nous sommes appelés par des gens qui sont arrêtés arbitrairement soit parce qu'ils portent des tee-shirts, soit parce qu'ils marquent leur opposition au mariage pour tous, et donc au gouvernement. Ce sont des arrestations politiques indignes du pays des droits de l'homme. On sent bien que des consignes sont données aux policiers", accuse l'avocat.
Contactée par Le Point.fr, la préfecture de police dément que "toute consigne orale ou écrite" ait été "donnée aux forces de l'ordre" tout en précisant que les cris, vociférations ou le tapage sont interdits sur la voie publique. Pour l'anecdote, quelques minutes après leur libération devant le palais de justice, les mêmes étudiantes ont été de nouveau interpellées à la sortie du métro par d'autres policiers.

Regardez Jérôme Triomphe exiger la libération des étudiantes anti-mariage pour tous"


 
Nous reprenons l'article posté sur le  blog France Jeunesse Civitas. Il décrit, comme bien des témoignages actuels, la situation dans laquelle nous sommes. 
Le pouvoir socialiste est conscient que les Français sortent du sida mental de  la pensée unique et obligatoire dans laquelle, hier la précédente majorité UMP  au garde-à-vous devant les Loges et les mises en garde du PS, et aujourd'hui elle-même avaient pensé pouvoir les enfermer. Il se lance alors dans un nouveau mode de déclinaison du totalitarisme: la violence physique et aveugle. 
La liberté de penser et de circulation est en danger. Nous allons tout droit vers une République Démocratique Française, petite soeur de l'ex RDA, avec le qualificatif  de "démocratique" bien mis en exergue pour mieux cacher l'Etat policier totalitaire avec la répression de tout écrit opposé au gouvernement, ses arrestations arbitraires systématiques et une justice aux ordres.

Il est plus que temps pour le formidable mouvement de contestation de la loi de dénaturation du mariage et de la filiation de comprendre la nécessité de politiser son discours et d'en tirer toutes les conclusions lors des prochaines échéance électorales. Un vrai changement est nécessaire. Pas le remplacement des gauchistes de mai 68 actuellement au pouvoir par ceux qui n'ont fait que mettre en oeuvre ou de préparer l'actuelle politique avec plus de discrétion.

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Lettre ouverte à M. Valls, par une grand-mère arrêtée sur ses ordres

vals-dictature.jpegVoici une lettre ouverte rédigée par une dame âgée de 66 ans, arrêtée à l'issue de la manifestation Civitas trop calme au goût du ministre de l'Intérieur.
Bravo Monsieur Valls,
Vous avez réussi votre coup, pas de plomber mon moral, mais de vous mépriser un peu plus ainsi que dame Taubira, la grande prêtresse de cette loi scélérate.
Dimanche, jour sacré de la fête des mères, j’ai pris un bus pour aller à la manifestation, pour crier mon mécontentement. A ma grande stupeur, une vague de policiers nous attendait à l’endroit du bus pour une vérification d’identité, ainsi qu’une fouille au corps et des sacs à dos. Pas de chance, rien de compromettant. Que de l’eau et des casse-croûte, mais aussi, une bombe de ventoline, comme vous gazez femmes et enfants, j’avais pris mes précautions. En effet, je suis fragile des bronches.
Pour votre information, je suis une maman qui a conçu avec un papa, 9 enfants, bénis par un prêtre, et élevés dans une famille normale. J’ai aussi 14 petits-enfants et deux arrières petites-filles. J’ai 66 ans, vous voyez que même les souchiens peuvent avoir une famille nombreuse, sans aide aucune. Moi, monsieur, j’ai travaillé malgré mes enfants, ainsi que mon mari, pour acheter notre maison, élever nos enfants correctement et payer leurs études, contrairement à certaines catégories de personnes qui profitent de votre système d’aides à gogo.
La manifestation se passait dans le calme et sans heurt, au grès des chants religieux et des slogans contre votre loi qui va à l’encontre de toutes les valeurs de la famille. Normal !
A la fin de cette manifestation, je m’apprêtais à prendre congé de certains amis avec qui nous bavardions tranquillement, lorsque, venu de nulle part, un cordon de CRS, nous a encerclé, plus un autre cordon de policiers en civil, pour un nouveau contrôle d’identité !!!
Nous étions alors entre 25 et 30 personnes, nous avons gardé notre calme, et, pour ma part, j’ai essayé de dialoguer avec les forces de l’ordre, leur expliquant que je devais reprendre le bus du retour.
Je pensais être tranquille après ce fameux contrôle, mais un bus de CRS est venu nous chercher pour nous emmener au poste de police du 18ème. J’ai alors reparlé de mon bus pour Amiens, mais j’ai essuyé un nouveau refus !
Nous sommes montés dans le bus, et une dame âgée a été molestée, et manu militari, forcée à monter dans ce bus.
Arrivés au poste de police, descente du bus, fouille au corps complète, demande des papiers d’identité, puis nous sommes parqués comme du bétail dans une cour, entre deux rangées de barrières. Fatiguée de cette journée de marche, j’ai dû m’asseoir à même le sol.
J’admire les jeunes gens et les jeunes filles qui ont tenu tête aux policiers, se sachant victimes de ce système répressif et corrompu.
Aux dires des agents de police, nous étions en rétention, soit pour 3h, soit en garde à vue ! L’attente a été longue et angoissante.
Au bout de plusieurs heures, nous sommes passés un par un, pour une autre fouille au corps et fouille des effets personnels !
La déposition était préparée d’avance et déjà remplie, attendant juste notre signature. J’ai alors demandé le motif de notre arrestation. Réponse, refus d’obtempérer à un ordre de dispersion de fin de manifestation, il était 18h au moment de notre arrestation. Cependant, à moins que je ne sois subitement devenue sourde, aucun appel à se disperser n’a été promulgué. D’ailleurs, j’ai discuté avec deux CRS, et eux même ne savaient pas pourquoi ils nous ont interpelés, ils étaient même plutôt surpris, et ont dit qu’ils avaient reçu des consignes en haut lieu, car la manifestation était trop calme à votre goût, Monsieur le ministre.
La déposition, qui était déjà remplie, je l’ai contestée, j’ai refusé de signer ce tissu de mensonges.
Retour dans la cour, puis, un par un, encadré de plusieurs CRS, dirigés vers la sortie, alors que mon bus était déjà loin.
Nous ne pouvions attendre d’autres personnes à la sortie du commissariat, sous peine de se retrouver en garde à vue pour attroupement de plusieurs personnes !
Je pars donc vers une rue adjacente, seule, sans téléphone et sans moyen de payement, dans ce quartier inconnu. Dans l’espoir de retrouver un visage familier et rassurant, je reviens sur mes pas, retrouve des proches et tombe nez à nez avec 3 CRS, à qui je demande la direction du métro. Eux ont été gentils, et m’ont indiqué la station la plus proche. J’ai donc pris le métro puis le train à la gare du Nord. Sans aucun moyen de contacter mon mari, ni d’argent, j’ai dû prendre le train frauduleusement, la peur au ventre. Je suis tout de même arrivée à Amiens sans trop de souci, il était alors presque minuit. Mon mari est venu me prendre à la gare et nous sommes enfin rentrés
Je suis catholique et ma devise est « Dieu et la Patrie »
Christiane V.