lundi 26 août 2013

Art moderne. Toujours le même principe décadent. Ici, en musique.

Tiré de fedsouche.


"Musique (contemporaine) : “L’atonalisme. Et après ?”


Le 20 décembre 2012, invité par le compositeur pianiste pédagogue Karol Beffa, titulaire pour l’année 2012-2013 de la Chaire de Création artistique du Collège de France, le pianiste Jérôme Ducros prononçait une conférence qui déclencha une vive polémique". 


 La plupart des collabos venaient de la gauche.





http://rutube.ru/video/6840d837d99686d2d561c610457aa913/
 Soutenons ceux qui ont le courage de dire non. Cette loi inique est passée. On ne peut tout voter, tout décider, ou, si on acceptait le principe contraire, certains demain pourraient nous faire revenir aux heures noires connues entre 40 et 45, mais aussi à celles vécues dans les pays communistes que la presse aux ordres oublie sauf très rares exceptions (a focalisation sur régime permettant de cacher ceux de régimes comparables).
Soutenons Marie-Claude Bompard.


http://www.france-petitions.com/petition/345/nous-soutenons-marie-claude-bompard

vendredi 31 mai 2013


Nous reprenons l'article et la vidéo mise en ligne sur le site  le Point.fr
Ajoutons juste avant l'information du site Le bréviaire du Patriote.

"Le 27 mai déjà, une cinquantaine de personnes avaient été interpellées devant le lycée Buffon à Paris, où François Hollande était en visite. Maître Grégoire Étrillard, l’avocat de plusieurs étudiants arrêtés, avait alors porté plainte et saisi le Défenseur des droits pour non-respect de la déontologie policière. Me Triomphe s’apprête à en faire autant. Jusqu’où ce gouvernement ira-t-il pour faire passer en force son idéologie ?

Petit rappel pratique pour les futurs interpellés :
Article 122-4
N’est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l’autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal.
Article 432-4
Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100000 euros d’amende.
Lorsque l’acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d’une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450000 euros d’amende".
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Le Point.fr- Publié le - Modifié le

Le Point.fr s'est procuré une vidéo qui montre un avocat exiger la libération de personnes arrêtées en marge des manifestations contre le mariage pour tous.

Photo d'illustration.
Photo d'illustration. © Michel Stoupak / AFP
 
 
Par et Aziz Zémouri
 
"Je viens d'être appelé par une cliente qui se trouve dans votre panier à salade et qui m'a dit qu'elle avait été arrêtée pour rien. C'est un abus d'autorité." Mercredi 29 mai, boulevard du Palais à Paris, Jérôme Triomphe, 38 ans, avocat, brandit le Code pénal devant les portes du tribunal de grande instance. Des policiers de la préfecture de police de Paris viennent d'interpeller plusieurs étudiantes venues soutenir des manifestants "anti-mariage pour tous" jugés en comparution immédiate devant la 23e chambre correctionnelle. Motif de l'arrestation ? Selon l'avocat, c'est uniquement parce que les étudiantes portent un tee-shirt "anti-mariage pour tous". Dans les faits, aucune image ne montre leur arrestation.

Retenue dans le fourgon de police stationné devant le palais de justice, l'une d'entre elles a eu l'idée d'appeler depuis son téléphone portable l'avocat. Jérôme Triomphe, qui filme la scène avec son iPhone, crie son indignation et menace de prison des fonctionnaires mi-amusés, mi-embarrassés. En effet, l'article 432-4 punit de sept ans d'emprisonnement toute personne dépositaire de l'autorité publique se rendant coupable lors de l'exercice de sa mission d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle.

"Je ne vous parle pas, je reçois des ordres, vous m'empêchez de faire mon travail", rétorque à l'avocat une jeune policière en uniforme. "Puis-je avoir le nom de la personne qui vous a donné l'ordre d'arrêter ces gens", interroge, vindicatif, Me Triomphe. Pas de réponse. Sous la pression de l'avocat, les étudiantes seront finalement relâchées et reconduites au métro par les forces de l'ordre. Cela constitue là encore, selon Me Triomphe, une infraction à la liberté d'aller et venir. "Cette vidéo illustre parfaitement les arrestations arbitraires qui se perpétuent depuis deux mois en marge des manifestations anti-mariage pour tous, affirme Me Jérôme Triomphe. Mais là, en relâchant immédiatement ces étudiantes, c'est la première fois qu'ils reconnaissent l'illégalité de ces interpellations."

"Le Défenseur des droits a été saisi

Déjà, le 27 mai, devant le lycée Buffon à Paris, pendant la visite du président de la République François Hollande, venu célébrer le 70e anniversaire du Conseil national de la Résistance, une cinquantaine de manifestants avaient été interpellés, retenus dans des fourgons de police puis conduits au commissariat. De nombreux avocats avaient alors dénoncé des abus d'autorité ou des arrestations arbitraires. Maître Grégoire Étrillard, l'avocat de plusieurs étudiants arrêtés devant le lycée Buffon, a depuis porté plainte et saisi le Défenseur des droits pour non-respect de la déontologie policière.
C'est aussi ce que va faire Me Triomphe pour sa cliente mercredi. "Ils ont osé effectuer ces arrestations devant le palais de justice, là où doit s'appliquer le droit", s'insurge l'avocat. "Tous les jours, nous sommes appelés par des gens qui sont arrêtés arbitrairement soit parce qu'ils portent des tee-shirts, soit parce qu'ils marquent leur opposition au mariage pour tous, et donc au gouvernement. Ce sont des arrestations politiques indignes du pays des droits de l'homme. On sent bien que des consignes sont données aux policiers", accuse l'avocat.
Contactée par Le Point.fr, la préfecture de police dément que "toute consigne orale ou écrite" ait été "donnée aux forces de l'ordre" tout en précisant que les cris, vociférations ou le tapage sont interdits sur la voie publique. Pour l'anecdote, quelques minutes après leur libération devant le palais de justice, les mêmes étudiantes ont été de nouveau interpellées à la sortie du métro par d'autres policiers.

Regardez Jérôme Triomphe exiger la libération des étudiantes anti-mariage pour tous"


 
Nous reprenons l'article posté sur le  blog France Jeunesse Civitas. Il décrit, comme bien des témoignages actuels, la situation dans laquelle nous sommes. 
Le pouvoir socialiste est conscient que les Français sortent du sida mental de  la pensée unique et obligatoire dans laquelle, hier la précédente majorité UMP  au garde-à-vous devant les Loges et les mises en garde du PS, et aujourd'hui elle-même avaient pensé pouvoir les enfermer. Il se lance alors dans un nouveau mode de déclinaison du totalitarisme: la violence physique et aveugle. 
La liberté de penser et de circulation est en danger. Nous allons tout droit vers une République Démocratique Française, petite soeur de l'ex RDA, avec le qualificatif  de "démocratique" bien mis en exergue pour mieux cacher l'Etat policier totalitaire avec la répression de tout écrit opposé au gouvernement, ses arrestations arbitraires systématiques et une justice aux ordres.

Il est plus que temps pour le formidable mouvement de contestation de la loi de dénaturation du mariage et de la filiation de comprendre la nécessité de politiser son discours et d'en tirer toutes les conclusions lors des prochaines échéance électorales. Un vrai changement est nécessaire. Pas le remplacement des gauchistes de mai 68 actuellement au pouvoir par ceux qui n'ont fait que mettre en oeuvre ou de préparer l'actuelle politique avec plus de discrétion.

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Lettre ouverte à M. Valls, par une grand-mère arrêtée sur ses ordres

vals-dictature.jpegVoici une lettre ouverte rédigée par une dame âgée de 66 ans, arrêtée à l'issue de la manifestation Civitas trop calme au goût du ministre de l'Intérieur.
Bravo Monsieur Valls,
Vous avez réussi votre coup, pas de plomber mon moral, mais de vous mépriser un peu plus ainsi que dame Taubira, la grande prêtresse de cette loi scélérate.
Dimanche, jour sacré de la fête des mères, j’ai pris un bus pour aller à la manifestation, pour crier mon mécontentement. A ma grande stupeur, une vague de policiers nous attendait à l’endroit du bus pour une vérification d’identité, ainsi qu’une fouille au corps et des sacs à dos. Pas de chance, rien de compromettant. Que de l’eau et des casse-croûte, mais aussi, une bombe de ventoline, comme vous gazez femmes et enfants, j’avais pris mes précautions. En effet, je suis fragile des bronches.
Pour votre information, je suis une maman qui a conçu avec un papa, 9 enfants, bénis par un prêtre, et élevés dans une famille normale. J’ai aussi 14 petits-enfants et deux arrières petites-filles. J’ai 66 ans, vous voyez que même les souchiens peuvent avoir une famille nombreuse, sans aide aucune. Moi, monsieur, j’ai travaillé malgré mes enfants, ainsi que mon mari, pour acheter notre maison, élever nos enfants correctement et payer leurs études, contrairement à certaines catégories de personnes qui profitent de votre système d’aides à gogo.
La manifestation se passait dans le calme et sans heurt, au grès des chants religieux et des slogans contre votre loi qui va à l’encontre de toutes les valeurs de la famille. Normal !
A la fin de cette manifestation, je m’apprêtais à prendre congé de certains amis avec qui nous bavardions tranquillement, lorsque, venu de nulle part, un cordon de CRS, nous a encerclé, plus un autre cordon de policiers en civil, pour un nouveau contrôle d’identité !!!
Nous étions alors entre 25 et 30 personnes, nous avons gardé notre calme, et, pour ma part, j’ai essayé de dialoguer avec les forces de l’ordre, leur expliquant que je devais reprendre le bus du retour.
Je pensais être tranquille après ce fameux contrôle, mais un bus de CRS est venu nous chercher pour nous emmener au poste de police du 18ème. J’ai alors reparlé de mon bus pour Amiens, mais j’ai essuyé un nouveau refus !
Nous sommes montés dans le bus, et une dame âgée a été molestée, et manu militari, forcée à monter dans ce bus.
Arrivés au poste de police, descente du bus, fouille au corps complète, demande des papiers d’identité, puis nous sommes parqués comme du bétail dans une cour, entre deux rangées de barrières. Fatiguée de cette journée de marche, j’ai dû m’asseoir à même le sol.
J’admire les jeunes gens et les jeunes filles qui ont tenu tête aux policiers, se sachant victimes de ce système répressif et corrompu.
Aux dires des agents de police, nous étions en rétention, soit pour 3h, soit en garde à vue ! L’attente a été longue et angoissante.
Au bout de plusieurs heures, nous sommes passés un par un, pour une autre fouille au corps et fouille des effets personnels !
La déposition était préparée d’avance et déjà remplie, attendant juste notre signature. J’ai alors demandé le motif de notre arrestation. Réponse, refus d’obtempérer à un ordre de dispersion de fin de manifestation, il était 18h au moment de notre arrestation. Cependant, à moins que je ne sois subitement devenue sourde, aucun appel à se disperser n’a été promulgué. D’ailleurs, j’ai discuté avec deux CRS, et eux même ne savaient pas pourquoi ils nous ont interpelés, ils étaient même plutôt surpris, et ont dit qu’ils avaient reçu des consignes en haut lieu, car la manifestation était trop calme à votre goût, Monsieur le ministre.
La déposition, qui était déjà remplie, je l’ai contestée, j’ai refusé de signer ce tissu de mensonges.
Retour dans la cour, puis, un par un, encadré de plusieurs CRS, dirigés vers la sortie, alors que mon bus était déjà loin.
Nous ne pouvions attendre d’autres personnes à la sortie du commissariat, sous peine de se retrouver en garde à vue pour attroupement de plusieurs personnes !
Je pars donc vers une rue adjacente, seule, sans téléphone et sans moyen de payement, dans ce quartier inconnu. Dans l’espoir de retrouver un visage familier et rassurant, je reviens sur mes pas, retrouve des proches et tombe nez à nez avec 3 CRS, à qui je demande la direction du métro. Eux ont été gentils, et m’ont indiqué la station la plus proche. J’ai donc pris le métro puis le train à la gare du Nord. Sans aucun moyen de contacter mon mari, ni d’argent, j’ai dû prendre le train frauduleusement, la peur au ventre. Je suis tout de même arrivée à Amiens sans trop de souci, il était alors presque minuit. Mon mari est venu me prendre à la gare et nous sommes enfin rentrés
Je suis catholique et ma devise est « Dieu et la Patrie »
Christiane V.

jeudi 30 mai 2013

Ce 29 mai,la ville de Reims avait l'honneur insigne d'accueillir Harlem Désir, Premier secrétaire du PS et ancien président de SOS racisme.

Une forte délégation de La Manif pour Tous de Reims et des Veilleurs était venue lui rappeler leur opposition à loi de dénaturation du mariage conduisant à l'adoption pour les homos et autres dérives. Des cadres du Front national, déjà présent à leur arrivée se sont joints au comité d'accueil. Quelques slogans:  "cette loi, on n'en veut pas"; "du boulot, pas de mariage homo", "hollande démission".

La salle René Tys était bien protégée: service d'ordre du PS, policiers en civil, rejoints vers la fin par cordon de CRS carapaçonnés avec des protections partout. Certains cadres FN, qui pourtant n'avaient pas rejoint le groupe du comité d'accueil, avaient été repérés et n'ont pu entrer. Mêmes éléments pour plusieurs personnes de La manif pour tous/ les Veilleurs qui, après l'accueil, ont voulu entrer dans la salle et poser quelques questions comme l'y invitait pourtant l'annonce de l'Atelier du changement. C'est cela la démocratie à la socialiste. La France devient une République Démocratique Française ( comme l'ex RDA). Une jeune  militante FN   a d'ailleurs été giflée par un de membres du service d'ordre alors qu'elle prenait la défense d'une personne déjà avancée en âge du groupe de La Manif pour tous qui voulait entrer dans la salle. Sans l'intervention d'un policier en civil qui a séparé les deux groupes qui se formait cela aurait dégénéré.

Si la police ne se transformait pas en police politique, quand elle n'est pas en train de prendre les automobilistes pour des vaches à lait, mais faisait respecter l'ordre dans les quartiers interdits et sanctionnait les "incivilités" en centre ville ce serait mieux.

A noter enfin qu'Harlem Désir, introduit discrètement dans la salle par une autre entrée, devait avoir moins de spectateurs à l'intérieur que de manifestants dehors, et qu'une fois les conseillers municipaux retirés des comptes, il ne devait pas y avoir beaucoup de citoyens non élus.

A noter enfin le cran de deux jeunes veilleurs montés sur le toit du gymnase et qui ont fait flotter des drapeaux pendant près de 10 minutes.
Les Français entrent bien dans un printemps. ils se réveillent du sida mental où le pouvoir a essayé de les plonger sous  la précédente majorité ou sous l'actuelle à coup de propagande télévisuelle (informations, télé feuilletons) ou à travers des livres scolaires écrits par des gauchistes appuyés depuis des années par le ministère chargé de l'éducation nationale.
 




mercredi 29 mai 2013

Communiqué de l'AGRIF dont nous saluons ici toute l'importance de son action:

28 Mai

"Rappel aux forces de l'ordre de l'interdiction d'exécuter des ordres illégaux

L’AGRIF et ses avocats constatent les faits suivants :
Un peu partout, des forces de police et de gendarmerie sont détournées par le gouvernement Hollande à des fins de répression idéologique contre l’immense mouvement d’objection de conscience morale face à la loi radicalement anti-humaine imposée par la dictature LGBT-OGM.
Le pouvoir provisoirement en place emploie contre ce mouvement de défense de la dignité humaine toute la panoplie des moyens des régimes totalitaires :
- Déshonorante tentative d’instauration d’un climat de peur par le ministre des gaz et matraques, Manuel Valls, pour essayer, en vain, de dissuader les familles de venir clamer leur détermination de ne pas accepter une loi de désintégration de l’humanité.
- Arrestations nombreuses, incessantes et totalement arbitraires de personnes pacifiques, pour simple « délit de bonne gueule », ou par exemple pour simple port de vêtements siglés « la Manif pour tous », voir pour simple port d’un drapeau français, manifestement non prisés par les ministres de la dictature socialiste et de l’écologie subvertie.
- Cas de mères de familles attendant leurs enfants à la sortie des écoles, ignoblement embarquées dans les fourgons par de pauvres exécutants sans souci des droits des personnes et du sort des enfants ;
- Placements sur écoutes, filatures, arrestations, rétentions, mises en garde à vue à des fins d’intimidation et de fichage, et en violation flagrante du droit se succèdent ainsi comme aux époques annonciatrices des persécutions jacobines, nazies et communistes.
Cependant, la police et la gendarmerie ne font plus face à la délinquance grandissante dont on occulte des faits très graves. Et rien n’est fait contre les actes de profanation d’églises et de cimetières qui se multiplient et contre lesquelles, malgré les plaintes de l’AGRIF, les enquêtes ne sont pas diligentées.
Les dirigeants et avocats de l’AGRIF constatent, comme des millions de Français, que l’actuel gouvernement, imposant une loi immorale de déni d’humanité par tous les moyens de manipulation et de violation d’une authentique démocratie respectueuse de la loi morale naturelle et éternelle, s’est enfermé dans l’illégitimité et sombre désormais dans l’illégalité la plus grossière.
Ils vont riposter à cette situation d’iniquité par tous les moyens de justice et de droit encore subsistants et en appellent aux magistrats protecteurs de la défense des libertés.
Les forces de l’ordre sont aujourd’hui employées à des missions de répression et d’intimidation des honnêtes gens qui ne réclament que de pouvoir s’exprimer.

Elles savent pourtant que prévaut désormais fermement depuis 1945 dans le droit international et national la doctrine dite des « baïonnettes intelligentes ». Celle-ci dispose que les agents de l’État sont responsables pénalement s’ils exécutent des ordres manifestement illégaux (article 122-4 du code Pénal), notamment les atteintes arbitraires à la liberté individuelle qui sont réprimées par l’article 432-4.

Ce dernier article fait encourir 7 ans d’emprisonnement aux auteurs et aux donneurs d’ordre portant atteinte arbitrairement à la liberté individuelle.

Des dizaines de plaignants, notamment soutenus par l’AGRIF et assistés par ses avocats, et bien d’autres encore en concertation avec eux, vont saisir dans les prochains jours les instances judiciaires de plaintes contre les atteintes aux droits les plus fondamentaux de la personne humaine".
Bernard Antony
Nous reprenons le communiqué suivant qui est très instructif sur la pratique d'un Etat qui sombre dans la violence physique totalitaire, scandalisé et effrayé  de voir que les Français sortent du sida mental dans lequel le plongent pourtant journaux télévisés et téléfilms aux messages plus ou moins subliminaux de la pensée obligatoire.


"Photos des exactions commises sur l’ordre de Manuel Valls et communiqué de l’Action française

Et le lendemain, Hollande célébrait la Résistance aux côtés de Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin... en ordonnant des interpellations arbitraires !
Après la matraque, les rafles.
Chaque année l’Action française rend hommage aux étudiants patriotes qui ont bravé l’interdit de l’occupant allemand, le 11 novembre 1940. C’est toujours avec une certaine émotion que nous imaginons ces étudiants et lycéens, mains nues devant l’envahisseur nazi. Bon nombre d’entre eux étaient d’Action française, et nous avons encore des aînés chez nous pour témoigner de ce premier acte historique de résistance à l’occupant.
Tir de Flashball
Dimanche soir, le 26 mai, c’était aussi et surtout des étudiants et lycéens qui faisaient face aux forces du régime. On est libre de ne pas me croire, mais j’affirme qu’il y a eu plus de blessés le 26 mai 2013 que le 11 novembre 1940.
Valls a lâché les chiens (policiers) sur les Français, comme jadis le gouverneur teuton du « Groß Paris ».
Arrestation d’un manifestant
L’Action française toujours consciente des risques que faisaient courir aux manifestants les grossières provocations policières, a ciblé (avec quelque succès) dans les échauffourées des Invalides, les policiers en civil qui tantôt faisaient mine d’agresser les CRS et tantôt mettaient prestement leurs brassards en sortant les matraques télescopiques pour exfiltrer avec une rare violence des manifestants un peu isolés.
Bilan : 17 interpellations et mises en garde à vue dans les seuls rangs de l’Action française et plusieurs blessés notamment par « flash ball » dont deux grièvement, poignets cassés et côtes fêlées, encore hospitalisés à l’heure où j’écris.
Cela continue, hier, lundi 27 mai 2013, à Buffon des manifestants qui voulaient pacifiquement interpeller Hollande ...venu célébrer la Résistance, un comble !, se sont fait embarquer manu militari par des CRS au seul motif qu’ils portaient sur eux le polo de La Manif Pour Tous. Parmi eux, beaucoup de mères de famille.
Les Kapos de la « Reich-publique » s’affolent, frappent, traquent, raflent.
Le pouvoir rend fou, et, avec leur police, ses détenteurs se croient tout permis. Nos enfants dans les crèches et dans les écoles sont réellement en danger de viol idéologique, demandez à Bertinoti, Vallaud-Belkacem et Peillon, ce qu’ils en disent.
A la violence aveugle d’un pouvoir sectaire aux abois, nous répondrons avec la force tranquille d’un peuple en marche, sûr de la victoire finale.
Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action Française
Pour couvrir les frais de justices nombreux, vous pouvez dès à présent envoyer vos dons via Paypal ou par chèque au CRAF, 10, rue Croix-des-Petits-Champs, 75001 Paris".

mercredi 22 mai 2013

L'observatoire de la Christianophobie | Libye : attentat contre une église catholique à Benghazi


Libye : attentat contre une église catholique à Benghazi

Il s’agit d’un sorte “d’attentat–avertissement”, mais le message est clair : les islamistes ne veulent plus aucune présence chrétienne en Libye.
Mgr Giovanni Innocenzo Martinelli, vicaire apostolique
Un attentat a pris pour cible l’église catholique de l’Immaculée de Benghazi (Libye) au cours de la nuit du 17 mai. « Une bombe a été placée à l’entrée du couloir qui porte à la cour sur laquelle donne la porte de l’église. Cette dernière n’a donc pas été touchée directement mais l’attentat constitue un signal non positif qui nous offense » déclare à l’Agence Fides S.E. Mgr Giovanni Innocenzo Martinelli, vicaire apostolique de Tripoli.
Mgr Martinelli souligne la situation difficile dans laquelle vit la petite communauté chrétienne dans le chef-lieu de la Cyrénaïque à cause de l’extrémisme islamique. « L’Église en Libye souffre. À Benghazi, l’église copte a été touchée. Leur aumônier a été tué et c’est maintenant le tour de l’église catholique » déclare le vicaire apostolique de Tripoli. « Comme j’ai eu à le dire en d’autres occasions, en Cyrénaïque, différents instituts religieux féminins ont été contraints à fermer leurs portes à Tobrouk, Derna, Beida, Barce, ainsi qu’à Benghazi. Les religieuses qui ont dû partir ont servi la population avec générosité » continue Mgr Martinelli.
« Cependant, je dois ajouter qu’hier, dimanche de Pentecôte, à Benghazi, malgré l’attentat, la Messe a vu la participation d’un certain nombre de personnes, surtout des Libyens, qui ont voulu montrer leur solidarité envers les prêtres et les quelques rares religieuses demeurés sur place » souligne le vicaire apostolique.
« En voila assez de cette violence qui n’a aucun sens, surtout face à la volonté de dialogue qui a toujours été la nôtre. Je fait cependant confiance à la bonne volonté du peuple libyen qui nous aime » conclut Mgr Martinelli.
Syrie: quand les pays occidentaux aident les terroristes islamistes internationaux venus du monde entier combattre en Syrie et persécutent les chrétien.




22/05/2013 – 19h30
DAMAS (NOVOpress) - Je ne suis pas un militant identitaire ou nationaliste, je suis un chrétien et je suis moi. Voilà pourquoi j’ai beaucoup de tristesse avec le témoignage de sœur Agnès Mariam, religieuse dans un monastère de la Bekaa au Liban au sujet de la vérité en Syrie : le djihad importé extermine cette nation et son peuple, alors que les journaux que je lis quotidiennement me soutiennent le contraire.
Il y a quinze ans j’ai travaillé au service des putes et des toxicos dans une asso catho près des gares de l’Est et du Nord à Paname et je pleurais chaque soir du regard ignoble qu’une certaine bourgeoisie dominicale portait sur ces malheureuses personnes : prends dix balles et pardon, je m’en retourne déjeuner dans ma confortable maison mais tu pues trop pour m’accompagner, et d’ailleurs tu n’aurais rien à me dire tellement tu es bête, c’est vrai, si tu n’étais pas bête tu ne serais pas à la rue ? Grosses larmes.
Donc il y a quinze ans déjà la bien-pensance bourgeoise imprégnait la clientèle dominicale. Le souci est qu’il y avait alors encore des rebelles à l’esprit-du-monde pour dire (certes à demi-mot) que quelque chose n’allait pas. Où sont-ils aujourd’hui ces causeurs à demi-mot ? Là, ça me tire vraiment de grosses larmes : je constate que les relais formels de mon Eglise de France ont plongé dans cette misère d’esprit-du-monde. La Croix, La Vie, Pélerin, etc. Pourquoi reportez-vous littéralement les news de l’AFP, que vous savez idéologisées, puisque vous êtes censés être des professionnels et en plus des chrétiens ? Tu ne te souviens donc pas qu’il y a un mois à peine Pape François dénonçait l’imprégnation idéologique dans l’action ecclésiale ou revendiquée ecclésiale ?
La Croix, La Vie, Pélerin, toi mon frère et ma sœur, lorsque tu écris que l’immonde Bachar el Assad est un monstre et que ses opposants (qui au passage utilisent des gaz de combat versus des populations civiles chrétiennes, mais Carla del Ponte le dit et tu ne repasses pas l’info) sont d’honorables combattants de la démocratie, tu me donnes envie de vomir.
Christ est Chemin, Vérité et Vie. Tu ne risques pas de le rencontrer si tu te contentes de te mettre en chemin et que l’esprit-du-monde t’incite à trahir la vérité. Te voilà parmi les ronces au bord du chemin.
Alors voilà : il y a ce témoignage d’une sœur libanaise. Ce n’est pas du bidon, pourquoi fais-tu l’impasse sur ce qu’elle te dit ? Figure-toi que moi Jésus ne me reprochera pas d’avoir fermé les yeux sur le train de Büchenwald justement parce que c’est la même affaire. Mais toi ? Cesse de tenter de m’enseigner puisque manifestement tu cherches à me confire de mensonge, et vas te regarder en face, et confesse-toi, mon frère et ma sœur, car ce que dit la sœur prouve que tu sais mais ne veux pas dire. Et là, ce seront de longues veilles et jeûnes pour moi qui prierai que tu sois pardonné(e).
Olivier Varvatsoulis


















Suicide de Dominique Venner le 21 mai 2013



Le Salon Beige signale que, selon l'usage, "une messe de réparation a été célébrée par Monseigneur Jérôme Beau, évêque auxiliaire de Paris, en présence de Monseigneur Patrick Jacquin, recteur-archiprêtre, de prêtres de la cathédrale et de quelques fidèles dont des membres du personnel".

Nous reprenons par ailleurs ci-après  l'article mis en ligne par  l'abbé de Tanouarn qui a connu Dominique Venner. Ajoutons pour notre part quelques lignes. Cet écrivain et historien ne partageait la foi qui nous anime.  Agnostique, voire hanté des pensées païennes, il  s'est cependant toujours engagé avec passion, courage, esthétisme et honneur dans le combat pour son pays, pour son peuple et le respect de toutes les identités face aux mondialisme triomphant. Ainsi, par exemple, quand presque tous les Français de métropole se satisfaisaient de leur confort et acceptaient sans broncher la voie de déshonneur et de trahison choisie par général de Gaulle, une fois retourné au pouvoir et à 180° de ses engagements publics à Alger,  il a su s'engager dans le combat, jusqu'au bout, jusqu'au complot, pour l'Algérie française et a connu la prison gaulliste.

Son geste n'a nullement cherché à profaner la maison de Dieu comme les Femen lors de leur intervention à Notre Dame. Héritier des Romains et des Grecs, éloigné de Dieu, mais peut-être également en souffrance intérieure d'en être séparé,  il a désiré offrir sa vie dans un lieu sacré.

Puisse ce samouraï d'Occident avoir eu le temps de se tourner vers Dieu et d'implorer son pardon avant de rendre l'âme, selon le schéma décrit par le saint curé d'Ars à une mère éplorée dont le fils s'était jeté d'un pont.

Jean-Claude Philipot

Le dernier geste de Dominique Venner


" Tout à l'heure à 16H00, Dominique Venner s'est suicidé, à Notre Dame, devant l'autel d'une balle dans la bouche. Comment comprendre ce geste ? Quels en sont les motifs ? Une lettre a été laissée sur l'autel, il nous dira ce qu'il veut nous dire de son acte.

J'ai eu l'occasion, voilà déjà une quinzaine d'années, de rencontrer Dominique Venner, de discuter avec lui, d'essayer de comprendre l'antichristianisme militant de cet historien qui était à la fois si froid et si passionné, si précis dans ses analyses et si lyrique dans ses perspectives, sans que le lyrisme ne nuise à l'analyse ni l'analyse au lyrisme. Dominique Venner avait une grande âme, "un coeur rebelle". C'est ce qui m'avait fait éprouver pour lui, alors que nous étions aux antipodes l'un de l'autre, une véritable sympathie. Il m'avait d'ailleurs dédicacé son ouvrage autobiographique Le coeur rebelle : "A l'abbé de Tanoüarn qui n'est pas un coeur soumis". Cette formule, je l'ai longtemps méditée. Je crois que c'est en cela que nous avons été en compréhension l'un de l'autre, lui et moi, dans le refus de toutes les formes de soumission. Se soumettre c'est subir, subir c'est renoncer à agir, renoncer à agir c'est accepter de ne pas servir, de ne servir à rien, de se laisser happer par le grand Néant de tous les A-quoi-bonismes, contre lequel Dominique s'est élevé toute sa vie. Contre lequel pourrait-on dire, il a tenté d'élever sa vie et son oeuvre.

Son dernier post, sur son blog, appelant à manifester le 26 mai contre le mariage homosexuel, mêle la crainte d'une islamisation de la France à ce signe de décadence morale qu'est le mariage des homosexuels. "Ce ne sont pas de petites manifestations de rue" qui pourront changer quelque chose à cette formidable conjuration "du pire et des pires" que présente la vie politique française en ce moment. On devine une forme de désespoir politique, vraiment poignant chez cet homme de 78 ans, dont on pourrait penser qu'il en a vu bien d'autres, depuis les combats de l'Algérie française, les appels à la résistance d'Europe jeunesse, jusqu'à maintenant. Mais le désespoir n'est pas l'explication ultime de ce dernier geste.

Du reste, sur son Blog, ce n'est pas le désespoir qui domine le texte qu'il nous laisse : "Il faudra certainement des geste nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines. Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes". On pense au sepuku de Mishima, il n'a pas pu ne pas y penser, en choisissant froidement le lieu et le moment et en s'interdisant de se rater. Son acte a été mûri, prémédité. Il avait remis les clés de la Nouvelle revue d'histoire ce week-end à celui qu'il considérait comme son plus proche collaborateur et son continuateur, Philippe Conrad. Sans paraître affecté. Il avait fini sa tâche, il importait de donner un sens à sa fin.

Sur son blog, il expliquait : "Il faudrait nous souvenir aussi, comme l’a génialement formulé Heidegger (Être et Temps) que l’essence de l’homme est dans son existence et non dans un « autre monde ». C’est ici et maintenant que se joue notre destin jusqu’à la dernière seconde. Et cette seconde ultime a autant d’importance que le reste d’une vie. C’est pourquoi il faut être soi-même jusqu’au dernier instant. C’est en décidant soi-même, en voulant vraiment son destin que l’on est vainqueur du néant. Et il n’y a pas d’échappatoire à cette exigence puisque nous n’avons que cette vie dans laquelle il nous appartient d’être entièrement nous-mêmes ou de n’être rien".

"Nous n'avons que cette vie...". Cette affirmation, pour Dominique Venner, est une donnée essentielle du problème. S'il n'y a pas d'au-delà de la vie terrestre ; pour quelqu'un qui entend aller jusqu'au bout, l'instant, chaque instant a un poids écrasant. Le chrétien comprend ce sens de l'instant et ce sens de la responsabilité, mais il ne cherche pas à aller au-delà du possible : Dieu est l'agent de nos destinée. Dieu achève l'ébauche que nous lui tendons à la dernière seconde.Et le sacrifice est encore une action, non une soumission. Dominique Venner n'a pas voulu s'en remettre à Dieu de sa dernière seconde, il ne pouvait pas faire ce sacrifice : il a souhaité la choisir. Pétri de philosophie allemande, il a repris toute sa vie l'idée de Schelling, commenté par Heidegger : "être c'est vouloir". Esse est velle. "L'être, c'est le vouloir". Il faut vouloir jusqu'au bout pour être vraiment. Voilà la formule d'un athéisme antinihiliste... Le sien.

Et pourtant...

Pourtant, Dominique Venner a choisi l'autel de Notre Dame pour cette décision. C'est sur l'autel qu'il a posé une dernière lettre. Vraiment je ne crois pas que, s'il a fait cela, c'est pour attirer l'attention, pour que Manuel Gaz vienne sur les lieux. Il n'avait que faire de ce genre de reconnaissance "médiatique". Son acte n'est pas médiatique, il est symbolique. Quel symbole ? Celui de la Vierge Mère, celui de l'éternel féminin, lui qui, dans son dernier blog professe "respecter les femmes alors que l'islam ne les respecte pas". Sans doute. Mais il ne faut pas oublier qu'outre sa culture païenne, Dominique Venner possédait une solide culture chrétienne, avant que son entrée en délicatesse avec une Eglise qu'il voyait comme absurdement pro-FLN ne l'ait détourné de Dieu. Je crois que ce suicide-avertissement, que Dominique a voulu comme une sorte d'analogie frappante avec le suicide de notre civilisation, était aussi, pour lui, la seule manière qu'il ait trouvé de passer par l'Eglise une dernière fois sans se renier. Une sorte de prière sans parole, pour ce coeur inassouvi jusqu'à la dernière seconde. Dieu ? C'était trop compliqué pour lui. Mais Marie... Une femme, capable - Dieu le sait - d'exaucer enfin le désir de perfection qui a été la grandeur et le drame de sa vie".

lundi 20 mai 2013

Allocations familiales : baisse pour les familles françaises, des droits nouveaux pour les familles polygames | Front National

Allocations familiales : baisse pour les familles françaises, des droits nouveaux pour les familles polygames | Nations Presse Info

L'observatoire de la Christianophobie | Lepuix-Gy : un moine âgé agressé, battu et menacé de mort

islamo collaborationnisme au pouvoir

Nantes : un partisan de la peine de mort pour les homosexuels invité à la Rencontre annuelle des musulmans de l’Ouest

Intéressante analyse de la situation actuelle du pouvoir en place face aux saines réactions du pays légal.

Un mouvement toujours dynamique, une répression de plus en plus lourde - Action française

vendredi 17 mai 2013

Nos gouvernants de la fausse droite et de la vraie gauche à la botte des Américains les ont aidé :
- à mettre  en place un régime musulman en Bosnie et au Kosovo;
- à renverser en Irak  le régime Baas de  Saddam Hussein  qui n'était pas un tendre mais qui était un obstacle à la charia, protégeait le chrétiens et avait même confié le poste de  Premier ministre à un chrétien;
- à aider les révolutions arabes en Tunisie et en Egypte qui ont mis en place des responsables partisans de l'application de la loi musulmane;
- à renverser Mouammar Kahdafi en Lybie dont le pouvoir était personnel, mais qui faisait profiter la population  des richesses naturelles du pays et empêchait l'arrivée au pouvoir des islamistes.

Maintenant, ils aident Washington et leurs alliés fondamentalistes musulmans d'Arabie Saoudite et du Qatar  (  auquel on offre des conditions fiscales pour acheter nos fleurons immobiliers économiques à faire pâlir d'envie les Français) à déstabiliser le régime Bass de Syrie. Ils  aident les opposants  islamistes qui massacrent les chrétiens, et qui pratiquent même de l'anthropophagie (cf l'article ci-après de l'excellent site Novopress) et la vidéo que l'on intègre ici sur le blog.

Quand arrêtera-t-on cette folle politique?
Que cherche donc Washington? 
 - à éviter que le monde arabe ne se construise sur des régimes permettant l'essor du développement économique?
- à déstabiliser l'Europe tout en semant des régimes contre lesquels ils décideront peut-être un jour d'intervenir  pour faire tourner leur industrie d'armement puis du BTP ( reconstruction), prendre les richesses locales et positionner leurs troupes?
Probablement les deux explications sont bonnes.

Jean-Claude Philipot.





"DAMAS (NOVOpress) Une vidéo (âme sensible s’abstenir, interdite au moins de 18 ans) montrant un rebelle syrien éviscérant un soldat et faisant mine de croquer ses organes suscite l’effroi à travers le monde. L’auteur de cet acte monstrueux serait un dénommé Khalid al-Hamad. Il se vante également d’avoir en sa possession une autre vidéo le montrant en train de commettre d’autres atrocités. « J’y découpe un “chabbih” (milicien pro-régime) avec une scie. La scie qu’on utilise pour couper des arbres. Je l’ai découpé en petits et grands morceaux », déclare le terroriste dans un entretien mis en ligne par Time. Sur les images, l’islamiste découpe le cœur et le foie du soldat en uniforme avant de lancer : « Nous jurons devant Dieu que nous mangerons vos coeurs et vos foies, soldats de Bachar le chien ».
« Oh héros de Baba Amr, massacrez les alaouites et découpez leur coeur pour le manger ! », ajoute dans la vidéo ce sunnite, comme l’écrasante majorité des insurgés, faisant référence à la minorité issue du chiisme à laquelle appartient Al-Assad. Les Etats-Unis se disent « horrifiés » par cette vidéo. Belle hypocrisie puisque l’administration Obama contribue à de telles atrocités en finançant militairement les opposants au régime de Bachar al-Assad, avec le Qatar, l’Arabie Saoudite et la Turquie, notamment. D’autres exactions sont également signalées à Raqqa (est du pays) par le groupe jihadiste Al-Nosra."

jeudi 16 mai 2013

NOUVELLES DU   TERRORISTE   DE  BRIOUDE  NON EXPULSÉ EN ALGERIE CAR AURAIT  IL RISQUÉ DES TORTURES (SIC)


Nous reprenons un extrait d'une information reçue aujourd'hui ( plusieurs de ces informations d'actualité peuvent se retrouver sur le blog http://marcrousset.over-blog.com/ )

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Premier scandale :

Saïd Arif a été condamné en 2007 pour plusieurs tentatives d’attentats en France, puis libéré en 2011.
La France avait prévu de l’expulser vers l’Algérie, mais son gentil avocat a saisi la Cour européenne des droits de l’homme, qui s’est opposée à son expulsion, en raison de risques de torture.
Depuis, Saïd Arif vit à l’hôtel, en « résidence surveillée » mais pas si bien surveillée que ça, et aux frais des contribuables français qu’il veut massacrer..

Second scandale :

A sa sortie de prison, il a d’abord habité dans un hôtel à Millau, en résidence surveillée, et il s’en est échappé en janvier 2012. Cela n’a pas suffit à décider les cons qui font le mur de le coller en taule. Donc ils l’ont mis dans un autre hôtel, toujours en résidence surveillée, à Brioude (Haute-Loire) en octobre 2012.

Troisième scandale :

Le terroriste vient de s’enfuir une seconde fois. Il devait pointer quatre fois par jour à la gendarmerie, mais lundi matin, il avait disparu. Et sa fuite semble avoir été programmée, car le mois dernier, il a été aperçu en compagnie de trois islamistes radiaux, apparemment sans soulever les soupçons.
Pourtant, les trois islamistes radicaux qui sont venus lui rendre visite ont été reconnus, ils sont de Lyon. Ils ont été surveillés, car on sait qu’ils ont tenu leur conversation dans une voiture pour être l’abri de micros indiscrets. Ils ont été suivis, car ils ont été aperçus sillonnant la cité Saint-Julien. Et d’autres signaux clairs ne trompaient pas : Saïd Arif n’utilisait plus son téléphone portable depuis quelque temps mais une cabine téléphonique pour passer ses appels.
Et avec ça, on nous servira que les services de renseignement ont beaucoup appris de leurs erreurs et bavures de l’affaire Merah. Le gendarme de St Tropez n’aurait pas fait mieux…

Quatrième scandale

Saïd Arif venait de percevoir 5.000 euros de l’agence Pôle Emploi de Brioude qui lui a servi à s’enfuir.
C’est à dire qu’en France, un islamiste condamné pour avoir tenté de tuer des Français est non seulement logé à l’hôtel, nourri, blanchi, à vie et avec vos impôts, mais il reçoit en plus, de l’argent de Pôle Emploi !!!


Nous reprenons ci-après l'article de Jeanne Smith sur son blog. 

On a pu noter, notamment lors du référé du 11 mai dernier et selon les propos rapportés par Maître Triomphe sur Radio Courtoisie,  l'attitude du praticien hospitalier du CHU Sébastopol de Reims, scandalisé qu'on remette en cause une décision médicale, et désireux après que le juge ait décidé qu'il y avait lieu de reprendre l'alimentation et d'hydratation de Vincent Lambert, de reprendre un processus d'arrêt d'apport d'aliments et d'eau en respectant  cette fois des règles de procédure ( sic!!!..). Les soins thérapeutiques, destinés soigner une maladie n'ont pourtant rien à voir avec l'apport de ce qui est nécessaire au maintient en vie ( eau et alimentation). A quand le transport  d'un malade dans une pièce où on enlèverait progressivement l'oxygène?

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"Euthanasie en France : référé gagné ! Vincent Lambert vivra… Mais il reste menacé

Extraordinaire victoire, samedi après-midi, pour le respect de la vie ! Devant le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, un référé-liberté plaidé en faveur de Vincent Lambert, 37 ans, a abouti à une ordonnance qui a reconnu le droit de ses parents et d’une partie de ses proches de s’opposer à ce qu’il soit tué lentement par l’arrêt de son alimentation.

Me Jérôme Triomphe venait de plaider avec passion contre la mise à mort volontaire du patient, au nom de ses parents, de sa sœur et de son demi-frère ; Me Jean Paillot avait exposé l’éthique biomédicale qui exige le respect de la vie. L’audience, chargée d’émotion, avait duré plus de deux heures. Ils ont été entendus et compris.

Vincent Lambert : oui, c’est le vrai nom de celui que jusqu’ici, dans un souci de discrétion visant à donner un maximum de chances aux démarches pour sauver sa vie, j’ai appelé « Hervé ».

C’est un jeune homme frappé il y a quatre ans et demi par un accident de voiture qui l’a laissé gravement handicapé. D’abord maintenu dans un coma artificiel, il est resté ensuite pendant deux ans dans un coma végétatif. Puis il est entré dans un coma pauci-relationnel, qui correspond chez lui à un état de « conscience minimale plus » où existe une interaction avec l’environnement : Vincent peut suivre des yeux, réagir aux voix familières, manifester la conscience de ses émotions. Il sourit. Ou plutôt : il souriait.

Depuis qu’une équipe médicale a décidé que, sa « qualité de vie » étant insuffisante, il convenait de lui couper l’alimentation et une bonne part de son hydratation en vue de le faire mourir, il pleure lorsque sa mère ou ses proches viennent le voir…

Cet arrêt de l’alimentation et la diminution drastique de son hydratation, réduite de 3 litres au total à 500 ml par 24 heures, ont été mis en place depuis le 10 avril dernier, avec le consentement de son épouse, mais malgré l’opposition expresse de ses parents et d’une partie de sa famille qui n’ont été d’aucune façon entendus à propos de cette décision médicale, qui n’est rien d’autre qu’un arrêt de mort par cessation des soins.

C’est très exactement une euthanasie par omission.

Le juge des référés, Mme Catherine Monbrun, a ordonné samedi après-midi à 16 h 45 que l’alimentation et l’hydratation normales de Vincent Lambert soient rétablies, annulant par ce fait la « décision collégiale » qui avait été prise le 8 avril par l’équipe médicale du CHU Sébastopol de Reims, de le faire mourir à petit feu au motif que ces soins apparaissent aujourd’hui comme « inutiles, disproportionnels et ayant comme seul effet le maintien artificiel de la vie ».

Elle a ainsi reconnu qu’il y avait une « atteinte grave et manifestement illégale » à une « liberté fondamentale » qu’il s’agissait de sauvegarder : la vie même de Vincent Lambert, menacée, et le droit de ses proches qui ne souhaitaient pas le voir tué. L’urgence étant caractérisée par l’affaiblissement déjà très avancé du patient du fait de ce refus de nourriture et d’eau.

Au nom du principe du « respect de la vie » affirmé par la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme, que doit respecter notamment « toute personne morale de droit public » tel un hôpital public, l’ordonnance de référé rappelle que le juge des référés peut prendre toutes les mesures de nature à faire cesser le danger « lorsque l’action ou la carence d’un tel établissement crée un danger caractérisé et imminent pour la vie d’un patient, portant ainsi une atteinte grave et manifestement illégale à cette liberté fondamentale ».

Vincent Lambert, à l’heure où j’écris ces lignes, est hors de danger. Par l’effet de l’ordonnance de référés, on a recommencé à lui administrer du glucose et son alimentation est rétablie avec toute la précaution et la progressivité que requiert son état. Sa vie est sauvée.

Mais pour combien de temps ? Le résultat du référé a provoqué la « rage » du chef de service de l’unité de soins palliatifs où Vincent est hospitalisé. Une colère que m’a décrite Me Triomphe : il l’a constatée sur place au CHU de Reims, samedi après-midi, où le médecin chargé de soigner Vincent Lambert a clamé qu’il ferait tout pour procéder quand même à l’arrêt de la nourriture et de l’essentiel de l’hydratation de Vincent Lambert, refusant son transfert dans un autre hôpital plus respectueux de la vie au motif qu’ils sont « responsables » du jeune homme, rejetant encore et encore la volonté expresse de ses parents et d’une partie de sa famille de ne pas le voir ainsi volontairement poussé vers la mort. L'idée ? Relancer la « procédure collégiale », dans les règles cette fois (manière de reconnaître que tout avait été fait dans l'illégalité), mais avec la volonté préméditée de passer outre à la volonté des parents de Vincent Lambert.

Ce que l'on constate chez ce médecin, c'est une pure volonté de tuer – et j’écris cela en pesant mes mots, sans craindre de me voir contredire – puisque tel est l’objectif unique de l’arrêt de la nourriture et de l’hydratation.

Ce médecin qui a pris en toute illégalité – c’est ce qu’établit l’ordonnance de référé – la décision de faire mourir Vincent Lambert de faim et de soif, entend donc maintenant refaire toute la procédure de manière respectueuse de la loi, cette fois, pour lui couper encore les vivres.

Comment peut-il prétendre cela ?

Un élément peut, selon la manière dont on interprète la loi, lui donner raison, et il faut que la France le connaisse, qu’elle sache qu’aujourd’hui la loi française peut permettre de tuer un patient en le précipitant vers sa fin de vie.

Un deuxième lui donne tort, absolument et d’emblée, nous allons voir comment.

*

1. La décision d’arrêter les traitements, même en l’absence de situation de maladie en phase terminale, est une possibilité offerte aux médecins dans le cadre de la loi Leonetti. Cela correspond à la volonté d’éviter qu’une « obstination médicale déraisonnable » n’impose d’inutiles souffrances au patient ; c’est le refus de l’« acharnement thérapeutique » qui permet de refuser les traitements « inutiles, disproportionné ou qui n’ont d’autre objet que le maintien artificiel de la vie ».

« Traitement » : le mot dit bien ce qu’il veut dire et ne désigne pas de lui-même les soins ordinaires dus à tout patient et d’ailleurs à tout homme dans la mesure du possible : un toit, l’hygiène, la nourriture et l’eau.

L’entourloupe de la loi Leonetti, qui apparaît dans ses travaux préparatoires et qui est confirmée dans le rapport d’évaluation de l’application de la loi par le même Jean Leonetti, consiste à classer le soins ordinaire qu’est la nourriture (même administrée par sonde) au nombre des « traitements médicaux ».
L’ordonnance de samedi prend acte de cette possibilité et suit non la lettre de la loi, mais ces éclairages plus que douteux du point de vue du droit, puisque la loi interdit au médecin tout acte de nature à provoquer la mort.

On peut craindre que le droit français ne finisse par entériner cette interprétation qui aboutit à donner aux médecins un pouvoir de vie et mort sur leurs patients, même des patients qui comme Vincent Lambert vivent comme tout être humain grâce à l’absorption de nourriture et d’eau et qui ne souffrent d’aucune maladie qu’il faudrait soigner.

La morale et le bon sens imposent cependant de noter que la nourriture et l’hydratation même administrées autrement que par la bouche ne sont pas des soins extraordinaires ni un traitement médical : la vie qui est maintenue ainsi n’est pas plus « artificielle » que celle d’un nourrisson que l’on nourrit ou d’un malade trachéotomisé qui reçoit sa « ration de survie » par sonde. Il ne s’agit pas de prolonger par des moyens techniques disproportionnés une vie qui ne tient plus qu’à un fil. La preuve : c’est le refus de nourriture qui va opérer la dégradation de la santé du patient et provoquer, lentement mais sûrement, une mort cruelle.

2. Mais cette décision de refuser la nourriture et l’essentiel de l’hydratation doit répondre à des règles strictes. Il faut tenir compte de la volonté du patient si elle peut s’exprimer. Sinon, l’équipe médicale doit tenir compte, le cas échéant, si elles existent, de ses directives anticipées, mais ne peut prendre sa décision de mort sans consulter la famille et les proches du patient.

Et s’il y a opposition, il faut aussi en tenir compte.

Dans le cas de Vincent Lambert, ainsi que le plaida Me Jérôme Triomphe et ainsi que les pièces produites devant le juge allaient l’établir, la décision de mettre fin à sa vie a été envisagée dès le mois de janvier, et que l’épouse du jeune homme y a été « associée » dès début février. Mais ses parents n’en ont pas été tenus informés : certes on a parlé à sa mère, le 5 avril, sans précisions, mais assez pour que celle-ci manifeste sa ferme opposition à toute éventualité d’une telle décision.

Elle a été prise pourtant le 8 avril et mise en œuvre le 10 avril.

Les médecins qui soignent Vincent Lambert assurent que sa famille a été régulièrement tenue au courant… à partir du 25 avril. En effet ! Mme Lambert a été alertée par certains de ses enfants que Vincent, à ce qu’ils avaient remarqué, n’était plus nourri, et c’est elle qui s’est précipitée à Reims pour aller dire aux médecins son refus absolu d’une telle procédure qui constitue une mise à mort volontaire !
C’est sur ce point de non-respect de la procédure prévue par l’article 2. 4127-37 du code la santé publique que le juge des référés a donné raison à M. et Mme Lambert.

L’ordonnance souligne le défaut d’information dont ont ils été victimes par rapport à la mise en œuvre de la procédure collégiale par laquelle un médecin, conforté par l’avis favorable d’un autre médecin étranger au cas, peut décider de couper les vivres à un patient pour le faire mourir.  L’ordonnance dénonce aussi que le fait que les parents « n’ont pas été informés de la nature et des motifs de cette décision ». Plus important encore, le juge souligne que « la décision d’arrêter l’alimentation et de limiter l’hydratation n’a pas pris en compte les souhaits des parents de M. Vincent », et ce quand bien même une partie de ses frères et sœurs et son épouse se sont montrés d’accord avec elle.

Autrement dit, en cas d’opposition de la famille, en l’occurrence le père et la mère de la victime qui sont tout de même on ne peut plus proches, les médecins ont l’obligation d’en tenir compte.

C’est un frein réel à l’application mortifère de la loi Leonetti, et cette affaire a eu pour premier mérite de le mettre en évidence.

Lorsque le médecin de Reims prétend remettre en route une procédure collégiale, cette fois en respectant les conditions posées par la loi, non seulement il soulignent en creux la manière illégale dont ils ont agi, mais il méconnaît ce droit des parents qu'en tout état de cause il doit respecter en s'abstenant de prendre une décision de mise à mort.

*

Il n’est pas inutile de noter que les documents médicaux produits par le CHU de Reims en défense de sa décision démontrent l’état de conscience réel quoique apparemment très diminué et le fait qu’il ressent des émotions. Ni que la décision de faire cesser son alimentation et de limiter fortement son hydratation ont fait suite à ce que l’équipe médicale appelle des « signes d’opposition comportementale de la part de M. Lambert lors des actes de “nursing” a fait suspecter un refus de vivre et a suscité une réflexion éthique au sein de l’équipe médicale ».

En clair : il a montré son inconfort lors de la toilette, des soins de bouche…

Cela leur a suffi.

Nous parlerons de cette affaire avec Me Jérôme Triomphe sur Radio Courtoisie à partir de 8 h 30 ce dimanche matin, l’émission sera rediffusée à 21 h 30 : on peut l’écouter partout dans le monde sur http://www.radiocourtoisie.fr."