dimanche 25 avril 2010

Nous avons moins de 48h pour faire reculer la chaîne publique. Mobilisons-nous et inondons-les de protestations (protester prend moins de 30 secondes). 

Nous nous associons à la campagne de protestation.

Voici le texte, ci-après, qui sera envoyé automatiquement de l'adresse de l'internaute à la direction de France Télévisions, à CAPA, aux députés et aux sénateurs membres des commissions "culture" de chaque chambre et au CSA ! lorsque vous "cliquerez".

Remplissez et envoyez.

Monsieur le Président,
 
Suite aux révélations de Daniel Hamiche, porte-parole du réseau Riposte catholique, à propos de l'émission des « Infiltrés » intitulée « À l'extrême droite du Père » et programmée pour ce mardi 27 avril, je vous prie de tout mettre en œuvre pour sursoir à cette diffusion afin de permettre qu'un véritable débat contradictoire s'instaure sur les allégations de ce reportage avant qu'il soit diffusé. D’autant plus que le débat enregistré ne présente aucun intérêt dans l'exacte mesure où il ne met pas en présence sur le plateau les protagonistes publiquement incriminés dans le reportage et les journalistes déguisés qui l'ont réalisé.
 
La déontologie de cette émission a déjà été contestée, à maintes reprises. Il n'est, en effet, pas admissible que des journalistes mentent éhontément sur leur profession dans le but de faire trébucher leurs interlocuteurs : c'est en violation flagrante de la Charte de la profession.
 
Mais il est plus scandaleux encore que le service public de l'audiovisuel, financé par la redevance, c'est-à-dire par nos impôts, paie de soi-disant journalistes dont l'identité n'est même pas avérée, pour mener des provocations antisémites devant de jeunes mineurs. Cela a un nom : incitation à la haine raciale. Et cela a une sanction pénale : 7 ans de prison et 150 000 euros d'amende, lorsque l'on y provoque un mineur en milieu scolaire. Le discours de l'agence Capa ferait presque du “journaliste” infiltré un héros ; mais, en français, cela s'appelle un criminel.
 
J'ajoute qu'il s'agit d'une odieuse caricature du catholicisme traditionnel comme des écoles catholiques hors contrat qui réprouvent ces propos monstrueux que le Magistère de l'Église a toujours réprouvés.
 
Je refuse catégoriquement que mes impôts servent à financer une telle charge anti-catholique et une telle apologie du crime. Aussi vous prié-je, Monsieur le Président, de bien vouloir sursoir à la diffusion de cette émission.

PRENOM NOM

PS : par courtoisie, je vous informe que j'adresse copie de ce courriel aux diverses instances de tutelle, politiques et administratives, du service public d'audiovisuel. MESSAGE PERSONNEL





vendredi 23 avril 2010

Dossier "les infiltrés"-attaques contre les catholiques traditionalistes de Bordeaux
Exclusif : la déclaration de l’abbé Louis-Numa Julien de la paroisse Saint-Éloi à Bordeaux ou la dénonciation d’une manipulation

Il y en a assez des provocations et manipulations mises en oeuvre par les médias français.

Il y en a assez de ces pièges de flic, digne de la Gestato ou du KGB de se faire dicter ce qu'il faut penser, dire ou ne pas dire.

Attention Messieurs les nouveaux inquisiteurs, l'excès de vertu (même éventuellement la meilleure), rendu obligatoire, pourrait un jour réveiller le rebelle, le révolté, le résistant qu'il y a encore dans notre peuple et arriver au résultat inverse de celui actuellement poursuivi par les représentants du pouvoir.

mardi 20 avril 2010

Solidarité face à la désinformation anti-catholique

Sommes-nous dans une démocratie ou dans un de ces états totalitaires, tels qu'il en existait avant la deuxième guerre mondiale et comme il en existé après, en Europe de l'est avant les années 1990, ou comme il en existe aujourd'hui encore, notamment en extrême orient et à Cuba?

Non. Nous sommes dans une démocratie aux méthodes totalitaires douces...Ce ne sont plus les policiers qui viennent arrêter nuitamment les opposants au régime qui seront traînés avec des pièces à charges constituées de délit de pensée ou de pseudo trahison de l'Etat fabriquées de toutes pièces.

Nous sommes dans un pays où les journalistes font le travail d'une police politique digne des régimes précités, voire de procureurs aux ordres, puis livrent leur proie à une justice dont l'indépendance est très relative et qui doivent appliquer des textes de loi rédigés pour imposer un modèle sociétal jusque dans le cerveau du citoyen.


On procède alors à un lynchage médiatique comme cela est essayé contre une école catholique traditionaliste de Bordeaux ainsi que contre le mouvement politique bordelais Dies Irae, non confessionnel, mais dirigé par des catholiques de conviction qu'il fallait salir au regard de ce catholicisme que les francs-maçons et leurs alliés exècrent. C'est alors l'émission "les infiltrés".

Parfois cependant les catholiques relèvent la tête et décident de se défendre. Nous saluons ici ce qui est le seul choix possible face à ces chacals.

On se reportera notamment sur ce dossier aux quelques liens suivants:

http://e-deo.typepad.fr/mon_weblog/2010/04/rance-2-la-petite-cha%C3%AEne-qui-ment.html

http://e-deo.typepad.fr/mon_weblog/2010/04/mathieu-maye-un-ancien-du-fnj-obs%C3%A9d%C3%A9-par-les-juifs-.html

http://www.dies-irae.fr/actualites-n141-les-infiltres-de-france-2-une-provocation-en-service-commande.html.


http://www.mondeetvie.com/article-l-emission-par-laquelle-le-scandale-arrive-
48946133.html


http://www.riposte-catholique.fr/?p=6498