Nous reprenons la courageuse déclaration de Marine Le Pen. Même si, pour nous, il convient de distinguer la laïcité, machine de guerre conçue au XIX ième siècle contre les racines chrétiennes de la France et la juste distinction du domaine religieux et du domaine politique, nous ne pouvons que saluer la courageuse prise de position de Marine Le Pen face aux projets que certains présentent en matière d'aménagement des fêtes religieuses.
"Marine Le Pen s’oppose résolument à la
proposition de l’Association nationale des DRH visant à neutraliser 3
jours fériés d’origine chrétienne.
C’est à l’ensemble de nos compatriotes de se conformer à la laïcité et non l’inverse.
L’adoption d’une telle mesure marquerait
la soumission de la République aux particularismes religieux et sa
faiblesse face au communautarisme.
Les chefs d’entreprise ont au contraire besoin d’être soutenus très énergiquement dans leur combat pour la laïcité au travail.
Marine Le Pen demande au gouvernement de rejeter cette proposition.
Le gouvernement doit au contraire défendre avec beaucoup plus de vigueur nos valeurs républicaines et assumer pleinement l’héritage chrétien de la France, une réalité historique dont nous n’avons aucune raison d’avoir honte".
Le gouvernement doit au contraire défendre avec beaucoup plus de vigueur nos valeurs républicaines et assumer pleinement l’héritage chrétien de la France, une réalité historique dont nous n’avons aucune raison d’avoir honte".
On ne le dira jamais assez, toutes les concessions qui sont données aux
musulmans sont autant de pas qui nous mènent à l'application de la
charia et qui organisent la communautarisation de la France. S'agissant de la charia et de la formation de régimes islamiques, on sait où cela conduit partout dans la monde.
Pour avoir une
idée des massacres commis en terre islamique ( qui ne sont pas le seul fait de mouvements "islamistes") qui se
poursuivent, des persécutions de toutes sortes, des injustices, des
humiliations, on se reportera par exemple à l'ouvrage "le vrai visage de
l'islam" de Michel Alcader ( éditions Kyrollos, Durtal, 2006, 327p.).
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